Natalya Himura

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________ARTICLES________ › --> Thèmes, réflexions

Articles à thème qui regroupent ma vision du monde, mes cris, mes réflexions sur le monde qui nous entoure: bienvenue dans mes pensées et opinions! (Attention mes idées ne sont pas forcément les vôtre, soyez fairplay!)

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L'espoir se gagne

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Chez l'être humain il y a la montagne et le gouffre.

Au sommet, le gouffre l'appelle et il y tombe aisément.

Au fond du gouffre il s’apitoie puis il lève ses yeux larmoyants vers la montagne: elle s'élève majestueusement au-dessus de lui.

C'est alors qu'il reprend l'escalade. C'est ardu, les pierres roulent sous ses pas pesants, mais il sait que le panorama vaut la peine d'essayer.

Le tout est d'éviter de regarder en bas. ;)

L'espoir se gagne: il faut avancer pour le réaliser.

Conception de la vie

Je vais vous parlez de ma conception de la Vie au sens du "vivant", du "non-mort" et pas au sens de la vie humaine, la longue trame temporelle sur laquelle nous marchons tous avec plus ou moins d'équilibre.

Pour moi, tout être a le droit de vivre.

Cela vous parait évident ? Oui c'est sûr à première vu ce que je viens d'écrire semble tout à fait normal mais comment expliquez-vous alors qu'il y ai encore la peine de mort dans certains pays et que dans ceux où elle n'est plus appliquée certains la réclament ? A oui la vengeance...les mauvais doivent payer ! Les assassins doivent mourir ! C'est là le juste retour des choses ! Ben voyons...Quelle belle raison ! C'est la loi du Talion que ces gens suivent: Oeil pour oeil, dent pour dent ! Coupez la gorge à un égorgeur ! Brûlez la maison de l'incendiaire ! A quoi cela sert ? A quoi cela mène ? A une pure et simple vengeance sans conséquence bénéfique pour le monde... C'est un moyen d'éliminer les gens dangereux ? D'éviter les récidives ? De faire des exemples ? En êtes-vous certains ? Si l'on prend les Etats-Unis, la peine de mort ne fait pas baisser le moins du monde le nombre de fous là-bas. Bon en même temps on parle des Etats-Unis...

Sans_titre_22.bmpHeum...Avant de faire de l'anti-américanisme alors que je n'ai rien contre les américains (A part le port d'arme, la peine de mort, la guerre dans les pays orientaux soit-disant pacificatrice, la course pour le pétrole, leur alimentation...), parlons de ce dont je voulais parler au départ...

J'aime imaginer que chaque créature vivante (sauf les végétaux allez savoir pourquoi ^^), sont une vie et que chaque vie, quelle qu'elle soit, mérite de rester sur terre. J'imagine toujours que, lorsqu'on tue quelqu'un, même une fourmi, une petite boule de lumière s'envole et s'éteint ou bien que dans le grand vide une de ces boules, qui font office d'étoiles là-bas, disparaît. Ha ben oui je suis bizarre que voulez-vous...C'est pas pour rien que j'éprouve le besoin d'écrire ! Imaginez que je raconte ça à quelqu'un en face ? L'air con ! C'est marrant parce que plus j'observe cette conception que j'ai et plus je la compare à la croyance en des "âmes". C'est vrai que ça y ressemble non ? Seulement pour moi si ce sont des âmes, elles ne sont pas immortelles bien au contraire...

C'est là qu'on se rend compte que les mots ne sont pas du tout aussi efficaces qu'on voudrais le croire: je n'arrive pas à réellement vous exprimer ce que je pense sur ce sujet...

En bref tout ça pour vous dire au final que je suis une écolo, que je ne supporte pas le gaz de ville (rapport ?), et surtout que j'ai horreur du meurtre gratuit ! On ne trucide pas les bestioles, même les moustiques, lorsqu'on peut l'éviter ! Voilà c'était pour vous dire que j'en avait marre des gens qui écrasent les insectes ou les limaces à tout va et coursent les mouches ou les abeilles pour les exterminer...Personnellement, j'ai une horreur folle des sauterelles: est-ce que pour autant quand j'en croise une je demande à quelqu'un de l'écraser ? Qu'est-ce qu'elle m'a fait à part me révulser ? Rien du tout ! Alors on ne doit rien lui faire !

(21 février 2008)

Le suicide

"Tous les jours nous en entendons parler ou nous en parlons."

Il est un sujet très récurrent dans les blogs, celui de la mort et du suicide.Sans_titre_23.bmp Qui n'a jamais pensé une fois dans sa vie qu'il fallait qu'il abrège cette dernière ? C'est un sentiment de mal-être tel qu'il s'empare de nous et nous fait penser à cette solution. Mais est-ce réellement une solution ? Bien des gens pensent que le suicide est une forme de lâcheté: on fuit les problèmes dont on ne trouve pas l'issue. D'autres, pensent que c'est parfois nécessaire et non débile...

"Une simple impulsion qui nous détruit"

Quelque soit votre avis sur la question, je viens vous prévenir: cette idée est souvent impulsive. S'il vous est arrivée d'y penser tellement fort que vous étiez prêt à y venir, vous savez de quoi je parle: une fois les émotions calmées et l'esprit de nouveau actif, vous vous dites "mon Dieu, qu'ais-je faillit faire ?". Cette impulsion est parfois très forte mais je vous en pris, réfléchissez à deux fois avant de faire le pas final, résistez à cette envie d'en finir !

"Un monde si petit à nos yeux mais si vaste en réalité"

Car si le monde autour de vous semble aller au plus mal, si vous ne trouvez de consolation en aucune des choses que d'habitude vous estimez tant, dites vous bien qu'il y a des millions de choses merveilleuses que vous n'avez pas encore vu, des millions de sentiments que vous n'avez pas encore éprouvé, des millions de raisons de vivre...

"Un appel, un cris du coeur et de l'esprit"

Il est vrai que souvent, nous en parlons comme d'une chose si courante qu'elle nous parait banale. Tellement de jeunes de nos jours sortent des phrases de suicidaires que nous n'y prêtons plus attention. C'est une erreur car tout ceux qui un jour ont des propos pareils y pensent plus fort qu'il n'en parlent. Ces petits appels anodins sont en réalité des gouttes qui s'échappent de leur coeur et de leur esprit dont la coque se brise. Souvent, un suicidaire en parlera de manière détaché pour ne pas faire peur à son entourage mais au fond de lui, il lance un appel à l'aide. Ecoutez les.

"L'indifférence, l'indignation, la culpabilité"

Lorsque quelqu'un passe à l'acte, la douleur fait place à l'indifférence, à l'indignation ou la culpabilité. Si le défunt était votre ami, vous pleurez sa disparition mais aussi de douleur morale: vous n'avez pas su l'aider, c'est en partie votre faute. Si le défunt vous était inconnu, vous y prêtez brièvement attention et l'oubliez en peu de temps: l'indifférence face à tant de banalité. Cependant, connu ou pas, le défunt peut provoquer chez vous l'indignation: cela ne se fait pas, il était égoïste, c'était un lâche.

"Qui sommes-nous ?"

Mais qui sommes-nous pour juger pareillement quelqu'un qui s'est supprimé ? Et si cela nous arrivait un jour ? Quelle fierté, quelle idée peut susciter chez nous pareil jugement ? Nous sommes humain. Nous avons des émotions mais aussi des sentiments. Nous avons la conscience et donc chacun un coffre dont nous sommes les seuls à détenir la clé. Croyez-vous cela facile de dialoguer avec nous-même ?

"Une corde peut servir à tant de choses..."

Quelle que soit la manière dont vous vous imaginez un jour vous supprimer, sachez que ce n'est pas la meilleure puisqu'il n'y en a aucune. Souffrir, ne pas souffrir ? Physique ou chimique ? Aucune n'est souhaitable par la dernière lueur d'espoir qui se cache en vous. Votre dernier espoir ? Mourir est votre dernier espoir ? Non, vous en avez toujours un autre seulement votre impulsion vous l'a caché le temps que vous agissiez...

"Résistez. Résistez à cette impulsion. Résistez car je vous aime et vous comprend ! Ho oui...je vous comprend."

(07 octobre 2007)

OGM

D'ailleurs en parlant du chaos du monde, j'en profite pour vous glisser mon opinion sur les OGM: non seulement on se croit maître de la nature mais en plus on se bousille nous-même la santé! Bravo à l'humanité!

Je pense que la rech
erche génétique est utile et ingénieuse mais c'est la façon dont on s'en sert qui est déplorable. A cause des OGM des plantes d'origine disparaissent et toutes les cultures sont contaminées pas eux. Car même les agriculture qui se disent bio portent en elles des gènes qui ne sont pas d'origine: l'être humain a considérablement modifié la nature depuis son apparition!
D'abord par la sélection des meilleures plantes et maintenant par la manipulation génétique. La première action de l'homme sur la nature est bien moins contestable que la seconde étant donné qu'elle est naturelle dans tous les sens du terme. La seconde quant à elle est véritablement dangereuse car nous donnons aux plantes des propriétés qui ne leur sont pas d'origine.
Sous p
rétexte qu'une plante possède un gène insecticide, on s'imagine pouvoir le transférer dans une autre sans en changer les propriétés qui lui sont propres. Seulement la manipulation génétique est bien plus compliquée que tout ce que l'on en dit! Il ne suffit pas de transférer un gène comme ça n'importe où n'importe quand et n'importe comment pour que telle plante obtienne sans effets néfastes la caractéristique intéressante d'une autre.

Nos b
oîtes de conserve et les légumes du marché ne sont plus ce qu'ils étaient: partout il y a des aliments modifiés et on sait que la plupart ont été mis sur le marché avant que l'on se rende compte des effet notoire sur l'organisme humain. Vivent les cancers, maladies intestinales et autres...

En bre
f, nous ne mangeons que des cochonneries et ils devient très très dur de manger réellement sain.
Je c
rois qu'il faut continuer de combattre les sociétés OGM qui se font du bénéfice honteux sur le dos des populations pauvres et qui arrivent à légaliser leurs saloperies.
Mais il n
e faut pas tourner le dos aux progrès de la technique génétique et ne pas arrêter de manger non plus.
L
'espérance de vie humaine n'a jamais été aussi haute! Nous mangeons des horreurs, certes, mais manger est nécessaire...et puis, en cherchant bien, vous trouverez du maïs, du vrai dans les rayons...

Evitons sur
tout les engrais chimiques (pour sauver un minimum la santé de la planète et de ses habitants), évitons de promouvoir les biocarburants qui ruinent les espérances des pays pauvres (car oui ce qu'on leur fait cultiver on le met dans les voitures, on ne le met pas dans leur assiette) et mangeons en triant nos produits mais sans tomber dans l'extrémisme: il est vain de manger uniquement bio ou de se restreindre car finalement le bio présente bien des mauvais côtés, est mensonger et très controversable, et arrêter de manger ne conduit à rien d'autre que la ruine du corps et de l'esprit.

[ Je rê
ve maintenant de voir tomber la firme Monssanto]

(03 mai 2008)

Chaos du monde

Et voici encore un article très joyeux! Je vais vous parler de ma conception des hommes, leur évolution et celle du monde qu'ils imaginent avoir entre les mains...

T
out d'abord, je suis une pessimiste (non c'est vrai ? Vous ne l'aviez certainement pas remarqué mdr).

Pour moi, l'
homme a évolué d'un coup surtout au XXème siècle et a découvert de nombreuses choses pratiques et formidables trop vite pour qu'il ne s'emballe pas. Je pense que nous sommes arrivé à une époque où l'homme fait n'importe quoi des découvertes qu'il a faites. Non seulement il n'est pas plus intelligent qu'avant, il fait toujours autant la guerre, réduit à néant toujours plus de principes établis avec sagesse dans les temps passés mais en plus il en est conscient!
L'
humanité est arrivé à un sommet d'où elle est en train de tomber. Heureusement pour elle, quelques harnais de secours la maintiennent un peu près stable sur la paroi abrupte de l'évolution mais pour combien de temps encore?
L'homm
e est en train de se prendre pour le maître absolu de tout: depuis les animaux jusqu'à la Terre et sans oublier l'Univers! Raisonnables nous? Laissez-moi rire!
La plan
ète s'en sortira, nous n'allons pas réussir à la détruire contrairement aux idées reçues par la majorité et elle continuera sa vie bien après nous tout comme l'Univers. Les animaux évolueront et peut-être nous aussi mais aujourd'hui, c'est la course à l'énergie qui prévaut sur les valeurs humaines...

Les
lois, la justice, la fraternité...illusions reluisantes, illusions brisées de jour en jour, miroir écaillé aux rayures mortelles qui finiront par anéantir le reflet du possesseur...

B
elle poésie que tout cela n'est-ce pas ? Beaux mots et jolies phrases jetées à la figure avec peu d'arguments! Mais c'est cela que je veux vous dire: le monde ne va pas mal, il est juste piétiné par des esprits sans raison et, si les joies passées resteront ancrées à jamais dans les pierres, il y a encore beaucoup de choses pour lesquelles vivre vaut le coût.
Le monde est un véritable chaos, un champ de bataille mais une pluie peut tout balayer et remuer la terre pour laisser respirer les jeunes pousses vertes...

(
23 avril 2008)

Vers l'infini et au-délà!

Et si nous parlions maintenant d'un sujet étrange? Je vais vous parler là de ma conception des extraterrestres...Et oui, rien que ça!

E.T mon ami,
Où es-tu partit?
E.T mon chérit,
Es-tu bien ici ?

Pour moi, c'est inimaginable que les extraterrestres n'existent pas, qu'il n'y ai pas d'autres êtres vivants ailleurs que sur Terre. Il y a des milliers de galaxies, des milliers de soleils, de planètes, de comètes, d'astéroïdes, d'années lumière...comment serait-ce possible qu'il n'y ai que la Terre qui puisse avoir le bon climat pour la vie? Comment penser que seule la Terre soit habitée?
A mon avis, nous (les êtres vivants en général sur Terre) ne sommes pas seuls. La probabilité d'être seuls est pour moi bien trop basse pour être juste. Ce serait tout même bizarre d'être une exception non?

Cependant, je ne pense pas que si un jour nous découvrons des extraterrestres ils aient forme humaine! Les petits humanoïdes verts au cerveau surdéveloppé dans les fictions me font bien marrer mais je pense que c'est d'abord sous forme de bactéries et d'animaux que nous trouverons la vie dans l'espace.
Je crois fermement aux extraterrestres mais je ne pense pas que les soucoupes volantes qui ont fait la une des journaux pendant un temps existent...c'est comme le monstre du Loch Ness! MDR

Mais au fait, savez-vous qu'il y a des bactéries sur la Lune? Oui oui parfaitement je ne vous dis pas n'importe quoi! Seulement, elles sont congelées et viennent de la Terre...hé ben oui les astronautes ont déjà pollué l'espace...LOL Remarquez ceci: elles sont congelées, pas mortes...Qui sait, peut-être que les premiers extraterrestres que nous découvrirons seront des bactéries humaines mutées? EXPLDR

En tous cas, E.T nous attends quelque par...mais où? Allez savoir!
Ce qui me chagrine c'est que je mourrai bien avant que l'on ne découvre de la vie ailleurs...
Ah oui je ne vous l'ai pas dit ça: un de mes plus grands rêves est d'aller sur la Lune, de marcher à sa surface, de voir la Terre depuis son sol poussiéreux et d'en ramener un petit bout ^^ Mais bon, vous savez comme moi que l'essence est devenu super chère et que les voyages lunaires ne sont disponibles qu'aux stars...Mamamia! Un jour je gagnerai au loto ! *o*

Et vous ? E.T est-il déjà venu frapper à votre velux?

(12 mai 2008)

Le narcissisme

Quand l'eau douce dort,
Je vois mon reflet.
Calme je l'adore,
Doux il me parait

Mais, si je me penche vers lui,
De sournoises rides je vois.
Déçu je me tourne et le fuis
pour oublier qu'il me déçoit.

Mon soupire me ramène

A la source plane et vaine.
Je me penche à nouveau pour moi
et à mon reflet tends les bras.

J'étouffe et je pleure.
Je sombre et je meurs.
L'eau m'emporte avec elle.
Ma figure n'est pas la plus belle...

*************************

Le narcissisme ne mène qu'à la perte: aimez-vous vous même mais aimez aussi les autres.
Ne passez pas trop de temps devant votre miroir: qui sait quel monde obscure sa surface cache?
Etalez votre vie mais intéressez-vous aussi à celle des autres.
Evitez de crier vos qualités à tout va: on y découvre ainsi votre plus grand défaut.


Le "je" est une tentation: utilisons-le avec modération.
Gare à l'eau qui dort...on s'y noie trop facilement...


*************************

Certaines personnes pensent que les blogs ne sont qu'un étalage narcissique de la vie des gens. Pour ma part, si j'utilise beaucoup le "je", c'est pour organiser ma vie de manière à vous la révéler de manière concise, précise et sans cachotterie. Se remettre en question à partir d'un tel listing et se comprendre soi-même: voici mon but. Mais c'est aussi un moyen de tenir un journal et d'organiser mes idées et pensées qui débordent de mon esprit: écrire m'est nécessaire, je vous l'ai déjà dit...

Juste un petit message: crier à tout va "je" et revendiquer son narcissisme n'est pas une bonne chose...Désolée si je blesse certaines personnes mais je pense que c'est un élément qui éloigne les gens de vous.
Aussi soyons discrets en public, écoutons autrui et tentons de ne pas trop parler de soi. Il faut se confier et s'aimer comme il faut mais ne tombons pas dans l'extrême. Cela est dur, très dur, surtout quant on est aussi bavarde que moi et que l'on a tendance à tout ramener à soi pour illustrer ses propos ^^

Des efforts...toujours des efforts à faire nous avons...jeunes padawans...

(
25 mai 2008)

Molesse, flemingite: l'éducation!

Bonjour à tous!

Cet article a pour thème une des principales maladies du siècle: la flemmardise des jeunes, c'est à dire leur mollesse physique et intellectuelle. Attention: dans cet article je catégorise pour généraliser mon propos!

La mollesse par les loisirs et l'argent

Shadow Within Tout d'abord, je pense qu'il est inutile de vous écrire ici que le nombre de jeunes qui veulent vraiment étudier a considérablement diminué, ou du moins, ceux qui ont la chance de pouvoir faire des études le veulent de moins en moins. Évidemment la cause principale est le développement des loisirs (particulièrement dans l'informatique et les jeux vidéo, ou encore dans les domaines des festivals et des sorties fêtardes de plus en plus accessibles à tous...). Il y a aussi la débilité du système scolaire, le fait que le boulot est de moins en moins reconnu et gratifié, la dévalorisation des diplômes...et j'en passe comme vous le savez bien!

Mais revenons-en aux loisirs: la civilisation actuelle permet beaucoup de loisirs, malgré les soi-disant crises financières et autres problèmes d'argent dont se plaignent les gens. Dernière consoles à la mode, jeux à aux prix exorbitants, fauteuils, pouf, canapé, bouffe toute faite, télé, confort optimal...rien n'est laissé de côté pour que le jeune puisse vivre sans jamais s'ennuyer. Ceux qui ont de l'argent à jeter par les fenêtres le font plus facilement que la masse moyenne de la population mais on voit même des parents aller jusqu'à s'endetter pour la 4ème console du mois pour leur fi-fils adoré...(ou fille, évidemment) Ce qui semble fou!

Troglodyte, teenagers et "baba-cool"

Je critique dans cet article deux genres extrêmes de jeunes que vous reconnaitrez facilement: - Ceux qui ne sortent pas: les jeunes mous, qui deviennent très vite geek, no-life, asociaux, anti-sport, anti-soleil et par le fait qui deviennent laids, gros, trop blancs, désagréables car horriblement désordonnés, sales et satisfaits de leur vie de troglodyte. - Ceux qui ne font que sortir: l'inverse, les jeunes ultra soignés, qui passent dix heures par jour dans la salle de bain, les filles maquillées à outrance, parfumé(e)s à en étouffer, toujours à la mode, toujours sur le dancefloor et surtout toujours bourré(e)s, drogué(e)s ou dans le sexe à volonté... Bref: les asociaux crades et no-life à mort aux airs supérieurs, et les jeunes teenagers déjantés qui cherchent toujours la merde entre-eux et ailleurs.

Évidemment, je généralise à mort et de manière plutôt hyperbolique (quoique), il faudrait parler encore d'autres "catégories" de gens, comme par exemple celle qui regroupe ceux qui bougent tout en restant mous: fumant, buvant, se droguant, paressant, l'air toujours ailleurs, sans force ni motivation mais qui sortent tout de même, en groupe, et font un minimum d'activités en dehors du canapé. Là aussi malgré leur position plutôt centrale et meilleurs (de mon point de vue) il y a beaucoup de chose à dire.

Éducation-Les parents esclaves et les enfants-rois

60538_by_kubicki.jpg Les deux premiers cas dont nous traitons ont souvent ce gros problème en commun: ils restent complètement amorphes au crochet de leurs parents (le troisième type de personne étant beaucoup plus indépendant). On voit de plus en plus des parents qui tombent dans l'esclavage silencieux de leur gosses et obéissent à tous leurs caprices. A leurs yeux ce sont les plus beaux bébés du monde auxquels on doit tout céder... Aussi la mollesse est surtout due à un relâchement de l'autorité parentale et le problème de celle des professeurs qui ne sont plus respecté du tout, qu'ils soient bons ou mauvais, puisque l'étiquette qu'on leur colle sur la peau depuis quelque temps semble vouloir perdurer. Bref, nous en arrivons donc au dilemme général que je voudrais traiter dans cet article: le manque d'éducation.

En général, les parents font tout ou payent et comptent sur les autres pour assurer leur bien-être. Soulever un meuble, faire la vaisselle, se déplacer pour aller chercher un verre, retirer ses chaussures, défaire son sac pour donner les fringues sales à maman...tout cela est fatiguant...tout cela tue et donc notre cher jeune ne le fait pas. D'un côté il a raison: les parents le font à sa place et à n'importe quel âge! Pourquoi se fouler? Le vrai problème est là: certains jeunes sont nés dans du coton et vivent dans du coton jusqu'à la fin de leur vie

Résultat, nous avons des jeunes qui, même à 20ans, ne savent rien faire d'eux-mêmes. Avoir quelques difficultés à gérer la vie étudiante, ne pas savoir régler quelques papiers ou être maladroit sur le ménage ou la cuisine, avoir de temps en temps un poil dans la main...c'est normal. Mais passer sa vie à s'amollir devant un écran, persuadé d'être supérieur à la moyenne, en n'ayant comme références que les mille et un films vus et revus dans l'année, les mille et un niveau du N-ième jeux acheté dans le mois...je ne pense pas que ce soit bon, de même que sortir à toute heure, n'importe où, prendre des risques, fumer et boire à outrance en se trémoussant toute la nuit pour finir dans un lit ou en garde à vue n'est pas, à mon ais, l'idéal de vie de l'Homme.

Meet_me_halfway__by_owlink.jpgJe pense que certains parents devraient se rendre compte que leurs enfants n'évoluerons jamais en leur mâchant tout. Il faut leur apprendre les règles élémentaires de la vie, sur le plan social, intellectuel, physique et hygiénique, il faut leur tenir la main pendant longtemps mais il faut aussi les forcer à galérer de temps en temps afin qu'ils évoluent! Porter le sac du gosse, oui mais jusqu'au lycée maximum! Ramasser derrière lui ses chaussettes en boule en pensant qu'il ne sait pas où se trouve le linge sale, d'accord, mais pas à 20ans... Des limites s'imposent que certains parents ignorent pour que leurs enfants bouge un peu leurs fesses.

A force de recevoir la becquée et de rester dans le nid, l'oisillon ne fera que s'écraser en sautant dans le vide...Il faut lui apprendre à voler et lui donner la motivation de chercher sa nourriture lui-même: sinon qui d'autre que la société lui fera tout une fois les parents morts? Voilà, des opportunistes, fainéants jusqu'au bout.

Ma vision globale

Sans_titre_7.bmp Attention, ce que je critique ici, les "catégories" que je créé, tout cela n'est pas fixe. C'est bien ce que l'on appelle "généraliser". Le message que je tente de vous faire passer, c'est mon aversion pour les jeunes enlisés dans leur propre paresse, la mal-éducation des parents et la non motivation des jeunes pour être respectables. Nous avons tous été fainéants à un moment dans notre vie et pour ce qui est des "catégories", personnellement je ne suis pas dans une des trois que j'ai citées plus haut mais j'ai tout de même un pied dans chacune des deux principales: moi aussi je fais des excès mais au moins je m'en rend compte et je suis prête à me bouger pour que cela change, contrairement à beaucoup qui se complaisent dans leurs erreurs et leurs mauvais mode de vie. Quel est le bon mode de vie? me direz-vous. Comme d'habitude, cela relève du point de vue de chacun et c'est bien là qu'est le problème.

Ce n'est pas simple de trouver le bon mode de vie mais il y a des solutions pour s'en approcher à mon sens: observez-vous, critiquez-vous et tentez de faire au mieux à partir de cela. Évitez les excès, les abus et les mauvaises habitudes. Remettez-tout en question! Intéressez-vous à votre santé et à votre mode de vie général afin de les améliorer. Prenez en considération autrui et protégez les belles et bonnes choses de la vie en évitant de vous complaire dans les mauvaises. Politesse, respect, aide, équilibre...

Et aussi: Engagez-vous à éduquer vos futurs enfants, il est temps que certaines habitudes de la société changent même si ce ne sera jamais facile.

Qui voudrait d'un clone en ami?

Qui en ami?

juanjo-guarnido-blacksad-2.jpg Faut-il avoir forcément des choses en commun pour être amis? Un véritable ami est-il obligatoirement quelqu'un qui a les mêmes goûts que nous? Ne peut-on s'entendre qu'avec quelqu'un qui a les mêmes goûts que nous ?

Pour ma part, je pense que l'on peut très bien s'entendre avec n'importe qui à partir du moment où l'on cultive la tolérance. Mais il faut bien l'avouer, on s'entend bien mieux avec des gens qui ont un minimum de points communs avec nous. Pour parler, il faut avoir tout de même quelques sujets qui intéressent les deux interlocuteurs sinon la discussion tourne court. Les points communs rapprochent et permettent de débattre sur des sujets qui nous animent.

Un clone?

Mais faut-il que la personne avec qui nous discutons nous soit semblable pour qu'il y ai une parfaite entente? En général, dès qu'il y a une petite convergence entre les gens, ils catégorisent, rejettent, ignorent ou finissent par se monter la tête contre cette personne, si chère pourtant, mais qui n'est pas d'accord...Mais au fond, ne nous ennuierions-nous pas si nous avions tout, absolument tout, en commun? Pour ma part, je pense que si. Rain_or_Shine_by_The_Starhorse.jpgLa symbiose, l'harmonie ne peut pas être trouvée entre deux personnes tout à fait semblables. Et puis si on ne se prenait jamais la tête avec les gens qui nous sont chers, je pense qu'il y aurait un problème: de toute ma vie je n'ai jamais vu d'entente parfaite entre deux être!

D'ailleurs, nous sommes uniques n'est-ce pas? Aucune personne n'est une autre et avoir pour ami un clone...quel ennui...vous ne pensez pas?

Points communs, divergences, amitiés, tolérance...n'oubliez pas ceci...

Et les contraires, peuvent-ils s'entendre?

Personnellement, si je disais que non, je nierai une de mes anciennes relations...Nous n'avions rien en commun et pourtant c'était un amour véritable...un amour fini, un amour perdu, mais un amour... C'est dans ces moments là que l'on se penche sur la question: l'amour, quelle étrange chose n'est-ce pas? Oui mais en amitié? Je pense que c'est plus difficile. Sans l'amour, des personnes qui s'opposent sur presque tout ne vont aller que de difficultés en difficultés et se prendre la tête pour un rien...du moins, c'est mon avis.

(13 juin 2008)

Solitude

Sans_titre_6.bmpSeule

Souvent je me sent terriblement seule avec moi-même et ça, vivre pour moi-même, je ne supporte pas. Quel intérêt de vivre seul? Quel ennui sans but!

En réalité, si j'ai besoin parfois d'exprimer d'un coup ma joie, mon attachement, mes sentiments d'une façon un peu fofolle (mode bisounours), c'est parce que j'ai peur de la solitude. Il me faut absolument quelqu'un, toujours là pour moi, à qui je peux parler librement sans grand jugement, à qui je peux donner mon amour ou mon amitié. J'ai besoin de beaucoup donner d'affection mais aussi de beaucoup en recevoir... Le problème est là, posé avec ce mot: beaucoup. Beaucoup, c'est souvent trop par rapport à autrui... Donner, donner, donner et recevoir...mais recevoir sans avoir ce vide, cette solitude de comblée... C'est douloureux.

Plus j'avance dans la vie et plus je me rends compte que j'ai besoin de trop au niveau des sentiments par rapport à ce que la vie peut apporter.

Comment me suivre? Comment s'accorder avec moi?

Difficile... Je pense que de mon côté, à part freiner mes ardeurs et me contenter de ce que j'ai, je ne peux guère améliorer ce défaut. Il m'en faut plus, toujours plus, j'ai un trop grand besoin d'affection, qu'y puis-je finalement à part l'exprimer aux autres? Du côté d'autrui, me pardonner, ne pas me juger trop vite, tenter de me comprendre à ce sujet, c'est tout ce que je vois de possible...

(23 décembre 2008)

Un besoin de partager

mommy__by_kikariz-d2xr469.jpg J'ai un énorme besoin de partager ma vie avec autrui. Montrer mes dessins, avoir des avis, lire et pouvoir parler d'une histoire avec quelqu'un, mes forums me donnent souvent l'impression de dialoguer indirectement avec quelqu'un et c'est pour cela que je ne pourrais jamais les lâcher! Les amis vont et viennent, ils disparaissent au fur et à mesure, trop préoccupés par leur propre vie, comme tout le monde et tout cela me rend triste! Vous savez, j'ai hâte d'avoir des enfants car avec eux je pourrais partager plein de chose, leur donner toute mon affection et avoir leur attachement: comme un échange réciproque d'amour et de conscience. Même si je sais qu'un jour ils s'en iront, le lien qui unis les enfants aux parents est un lien très fort que je commence à réclamer...

Mais bon, la patience est une vertu n'est-ce pas? ^^

Les sentiments-La rancune

6bfe05e53195827f.jpgLes sentiments...Ah quelles belles ou horribles choses!

Ils nous assaillent, nous paralysent, nous renforcent ou nous détruisent! Ils sont vils, mesquins ou subtils et malins! On ne sait les contrôler, on ne peut les apprivoiser! On sait qu'ils existent et pourtant ils nous résistent! Ils se cachent, se camouflent et nous sèment! Ils se lâchent, s'essoufflent et nous emmènent... Loin loin de nos savoirs, Loin loin de nos devoirs...

Définition wikipédia du sentiment: Le sentiment est la composante de l'émotion qui implique les fonctions cognitives de l'organisme. Il renvoie à la perception de l'état physiologique du moment.
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Pour ma part, si j'ai voulu vous écrire cet article, c'était pour vous expliquer une grande peur concernant les sentiments chez moi. N'y voyez pas là une plainte, ni un avertissement...mais bien un bilan de ce que je sens et ressens au fond de moi. Chez moi, comme chez la plupart des humains il faut bien le dire, les sentiments sont très versatiles. C'est à dire très capricieux, changeants, incertains, inconstants, indécis, instables, irrésolus, lunatiques, ondoyants... Du jour au lendemain, je peut aimer comme détester, accepter comme rejeter, vivre pleinement la vie ou ne penser qu'à la mort. Mais là je vous parle de tous les genres de sentiments et j'aimerai vous parler plus précisément des sentiments d'amitié ou d'amour qui sont à mes yeux les plus grands sur Terre! Facilement vexée, facilement blessée, je peux déclarer la guerre à quelqu'un si je (ou du moins mon ego) considère qu'il le faut. En fait je suis rancunière à mort...
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C'est peut-être de ça que j'ai envie de parler en réalité dans cet article...allez savoir! La rancune... La rancune c'est vicieux... La rancune c'est franchement gênant dans certains cas puisque du coup je fais la tête pour pas grand chose et dès que c'est pour une raison valable, ça dure longtemps et ça peut être violent...
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Sans_titre_5.bmp En fait c'est vraiment de ces hauts et ces bas en terme d'amitié ou d'amour dont je voudrais vous faire part. Pour un rien j'aime à la folie et pour un rien mes sentiments tombent. Trop puissants ou complètement morts, ils ne trouvent jamais un juste milieu. Une dispute: et la rancune se charge de tuer mes plus belles pensées pour l'être cher qui m'a déçu.

Il faut toujours faire attention à la façon que l'on a de me regarder, de me qualifier, de me désigner, de me parler. Je suis super susceptible et sensible. Un rien me fait pleurer mais un rien me fait aussi sortir de mes gonds, et ce souvent intérieurement. Il faut prendre garde à la manière de raccrocher le téléphone avec moi par exemple...ou encore faire attention aux mots que l'on emploie, aux termes choisis même pour rire...

Aujourd'hui je suis avec un amour qui maintient l'équilibre fragile de ces sentiments. Je voudrais qu'il sache que je n'en ai jamais éprouvé de tels et que cela me fait peur dans le sens où ils peuvent tomber pour peu de chose sans que je ne le contrôle...et il m'est déjà arrivé de lui faire la tête, de ne plus vouloir le voir... Jusqu'ici ça a été très rare mais un jour, peut-être, je ne le souhaite pas de tout mon coeur, la chute sera terrible. C'est de cela que j'ai peur: mes sentiments sont montés tellement haut que je crains qu'ils ne s'écrasent un jour. J'ai vraiment peur d'être abandonnée par lui ou par moi-même. J'espère qu'il comprend, que vous comprenez-vous aussi ce que j'essaie d'exprimer, et que vous tous trouverez toujours quelque chose pour me récupérer, me faire sortir de l'enclot que je me serais érigé, pour éviter cette guerre silencieuse...

La guerre des sentiments.

La méchanceté gratuite

Je viens ici vous parler de la méchanceté gratuite du monde qui nous entoure. Je viens vous parler de cette violence verbale employée tous les jours et qui nous brise les tympans...

Quand vous entendez des choses comme "mais ta gueule", "ho la ferme toi!", "vas te faire foutre!", "putain tu fais chier"...et tout ça, ce genre d'ignominies non retenues souvent balancées pour rire (Oui oui pour RIRE ou pour exprimer un mal intérieur avec un sourire et des insultes), qu'est-ce que vous pensez? Que c'est bien? Que c'est marrant? Ou bien que c'est réellement affligent, ridicule et stupide?

dragon.bmpPersonnellement j'ai connu une personne qui passait son temps à répondre ainsi aux gens. C'était soit disant pour rire mais en réalité c'est parce qu'elle ne supportait pas les gens en général, elle se croyait le centre du monde et disait tout haut des tonnes et des tonnes de saloperies.

Ce genre de personne qui s'exprime de manière violente et brusque, avec dans la bouche uniquement des choses qui se veulent blessantes ou qui sont là uniquement pour faire croire aux autres qu'elles sont supérieures, plus assurées dans la vie...etc, m'exaspèrent!! Comme disent certains, Il y a des baffes qui se perdent!

Quand on a quelque chose à dire à quelqu'un, soit on se tait parce qu'on n'a pas le courage pour le dire, soit on va le voir directement en face et on lui dit carrément ce qui nous pose problème. Mais dire tout haut ce qu'on pense, de loin, assez fort pour qu'il ou elle entendent, je trouve ça ridicule et lâche! Je trouve ça détestable! Toujours quelque chose à dire, toujours à tout ramener à soit, toujours critiquer ou maudire quelqu'un tout haut en se parlant à soit-même...c'est le comble du ridicule! XD Mais il y en a qui le font, et ce, toute les trente secondes, tout seul, dans leur coin! Et le pire c'est que ces personnes s'insinuent sans vraiment s'insinuer dans les conversations des autres! Par exemple: vous parlez avec votre voisin de table et la personne chiante dit tout haut (en parlant bien entendu de votre conversation): "mais on s'en fou...." Comme si vous aviez voulu faire profiter tout le monde de la conversation, comme si vous veniez de faire une déclaration à la classe ou autre, alors que vous avez simplement parlé sur un ton normal, à une seule personne, sans vous exprimer trop fort ni rien... Aberrant...

Mascarade_by_Greikk.jpgPersonnellement je n'ai jamais été la cible de personnes comme ça. Ce que je vous écris là, c'est le résultat d'observations que je fais chaque jour, que ce soit en cours, dans les transports en commun ou dehors. Ce que je vous écris là, c'est mon dégoût envers ces colériques qui se font passer pour des incompris et qui passent leur temps à se plaindre et à faire les déprimés alors qu'ils ont un fond carrément méchant. Car ce n'est pas tout de mettre sa méchanceté sur ses problèmes...

Mais la méchanceté se paye toujours un jour...c'est comme tout! Pour le moment j'en parle, j'aimerais savoir si d'autres personnes ont déjà observé ce genre de comportement infecte...et je me libère ainsi. En tous cas, le jour où une de ces personnes là commence à m'emmerder moi, il tombera sur un os, je vous le promet!

Il y a vraiment des baffes qui se perdent...et une éducation à refaire chez beaucoup... Une éducation...

Et le pire dans tout ça, c'est que ça influe sur nous aussi, même quand ça ne nous est pas destiné !

Cri du coeur

Cracher, jeter ses papiers par terre, hurler dans la rue, sonner aux portes, insulter, menacer, voler, dévisager, frapper, se moquer,...voilà le monde que je vois actuellement, voilà ce qui semble être devenu l'éducation, le respect, la courtoisie, l'amabilité, l'entraide...

Je suis mal dans ce monde. Je ne supporte plus tout ça.

Sans_titre_4.bmpJe ne sais pas comment vous exprimer mon mal-être et ma colère face au monde actuel, aux manières des gens...jeunes, d'âge moyen, notre génération, celle juste avant nous et celles après nous me semblent...pourries. Les baffes se perdent, les jeunes son "rebelles", il n'y a plus aucune étique, l'art est devenu anarchique, injuste et souvent le travail de quelques fumeurs de pets mal coiffés...tout est perverti, tout est à mes yeux réellement désespérant...

L'éthique, où est-elle? Très rare, cachée chez de timides résistants. Le respect ? Nul part et partout à la fois, faux surtout et dénué de sens dans la bouche de beaucoup. La propreté ? Disparue, nous vivons dans notre crasse, l'homme semble avoir oublié jusqu'à sa propre hygiène. C'est à croire que les gens aiment vivre dans les déchets...

Heureusement tout le monde n'est pas comme ça mais quand je vois la proportion de cons par rapport à celle des gens honnêtes...c'est à se pendre!

PITIER, PARENTS, ÉDUQUEZ VOS GOSSES!! PITER, FUTURS PARENTS, ÉDUQUEZ VOS FUTURS GOSSES! Évitons, s'il vous plait, d'ajouter plus de beauf, d'idiots finis, et de salauds dans ce monde: il y en a déjà trop!

Fumer, boire, baiser, faire du bruit, être violent, posséder...voilà l'humanité...c'est beau...vraiment...

Dangereuses dérives

Au second semestre de lettre modernes, j'ai étudié l'érotisme en cours. J'ai lu quelques livres sympathiques (ou pas XD) sur le sujet et je me suis forgé une idée bien précise qui sépare correctement les comportements, l'érotisme et la pornographie. Voilà quelques unes de mes réflexions sur le sujet:

Dangereuses dérives...

Les dérives qu'entraînent vite les plus insipides sensations sont trop rapidement les bourreaux de la tendresse, de la douceur, de la confidence et de la considération de l'autre, et qui forment pourtant le vrai Amour.

Faiblesse Les amants ne doivent jamais perdre de vue la totalité de l'autre: son corps, désirable, n'en est pas moins fragile. La grâce de la peau et des muscles, la douceur apparente de la chair blanche en émoi, la fougue désordonnée de la chevelure et le feu dans le regard ne doivent pas faire oublier que l'être humain est faible, fabriqué d'os et de sang, articulé selon des équations intouchables et pâmé de douleurs si l'on s'égare dans un comportement brutal entraîné par la puissance de la volupté. La santé, physique et mentale, de l'être aimé doit prévaloir sur les désirs et les sensations du corps.

Sans_titre_3.bmpOubli La grande faute que l'on commet aisément est l'oubli de l'autre. Le respect est présent d'apparence et de mot, mais à partir de l'instant fatidique où l'on oublie le plaisir de l'être tendre et cher pour ne penser qu'au sien propre, le respect s'efface derrière l'égoïsme pur et simple. Faire l'amour n'est pas seulement un acte physique. L'Amour n'est entier que lorsqu'il y a la pensée. La remarquable sensation de ne faire qu'un, l'agréable songe que l'on est deux, l'idée même d'être juste présent avec l'autre sont des sentiments importants. L'intérêt doit être le plaisir de l'autre et de soi-même dans une union magnifique et pensée en termes de mots doux et de tendres perspectives qui vont au-delà de l'acte. L'avenir doit être considéré, la volonté de plaire et de contenter parfaitement l'être aimé doit prévaloir sur l'assouvissement d'un désir mécanique. Rien n'est pire dans l'amour que d'être aussi froid qu'une machine. Rester poupée de cire dans les mains de l'autre, n'être à ses yeux que délice de chaleur et de formes, la conscience intérieure oubliée: tout cela ne mène qu'au plaisir solitaire et à la négation de la vie. Quel intérêt de rester seul quand l'on peut être deux? Égoïsme, assouvissement: la malsanité n'est pas difficile à atteindre.

Fantasmes: sensualité, érotisme et pornographie

Amour a conçu l'Homme pour qu'il utilise son intelligence au profit de sa survie et de son plaisir, buts de ses recherches intensives qui tendent depuis toujours vers le bonheur. Aussi, toujours plus inventif, très rapide à la compréhension des systèmes qu'il porte en lui, l'être humain imagine des outils pour gagner en confort comme il imagine des jeux afin d'obtenir ce que sa chair réclame si ardemment. La sensualité devient alors suprême et délicieuse. La force d'Amour nous fait trembler et soupirer, la douceur apporte à nos corps languissants toute la tendresse de belles et simples caresses. Sentir tous les pores de la peau, ses petites imperfections, rencontrer chaque parcelle de l'être aimé pour garder en mémoire et en son cœur tous les contours, les tours et les détours de ce dernier...ainsi l'érotisme est né, la volupté en a été décuplée subtilement, amoureusement, proprement et respectueusement. Le désir peut être suscité sans danger et sans mal lorsque l'on aime assez. L'ardeur mêlée à la patience, la jouissance mise en attente et pourtant déjà présente dans les gestes posés et nimbés de coton de son ou sa partenaire, l'étroite complicité animée de l'idée même de l'acte qui suivra suffit normalement à combler d'avance les amants. Baisers enflammés, regard incandescents, papillons de caresses discrètes sur les écrins secrets, réceptacles merveilleux de la vie et de la joie, dissimulés aux yeux du monde par la pudeur, générée à la fois pour atténuer les désirs et pour les susciter plus sensuellement. Seulement, si l'Homme a été capable de trouver les endroits clé chez l'autre et s'il a su apprendre à maîtriser l'art de l'amour, il s'est aussi laissé aller à la débauche la plus totale. Lone_rose.jpg Même si l'on accepte parfois certaines choses, il ne faut pas croire que cela est normal. La nature ne nous a pas conçu dans le but de jouer avec la vie mais bien de la perpétuer dans l'harmonie, c'est ainsi que nos corps ont été conçus de telle manière que chaque organe possède sa propre fonction. Le poumon filtre l'air que nous respirons, le cœur filtre le sang qui coule dans nos veines, les yeux sont faits pour voir et les oreilles pour mieux recevoir le son cueilli ensuite par le tympan. Pourquoi chercherions-nous à pomper l'air avec notre cœur? Pourquoi ne gorgerions-nous pas nos poumons de sang? Il semblerait que la nature leur ai donné un seul rôle et que chercher à aller contre ne ferait que nous tuer. Le corps a ses limites que l'on peut dépasser, l'être humain a ses perversions qu'il peut faire assimiler, mais si se prêter à toutes les expériences peut procurer un plaisir rare et étrange, nous ne restons pas moins un être de pensée, réglé sur une morale longuement étudiée et sur des règles intuitives qui peuvent nous briser ensuite. Certes, nous ne mourons pas de débauche et d'actes irréfléchis conduits seulement par quelques esprits attirés par l'inconnu, les nouvelles sensations et l'interdit, mais la jouissance passée, le désir assouvi, il ne restera plus rien qu'une satisfaction partielle, seulement corporelle et la honte si ce n'est la conformation dans son égoïsme. Où est donc passé l'Amour? Ces actes sont-ils réellement conduits par la flèche de Cupidon? L'être aimé est-il toujours considéré comme une entité vivante, armé de conscience et fragile ou bien est-il seulement passé du stade d'être à celui d'objet? N'est-il plus tant un corps, simple réceptacle du débordement du désir, plutôt qu'une vie et un esprit, réceptacles de la plus grande tendresse et du respect de l'autre? Même si les amants sont d'avis commun, même si cela leur procure des joies étranges, n'est-ce pas là détournement de l'Amour véritable, une substitution de l'acte amoureux pour un simple assouvissement curieux des sens? L'art, les médiats, les mœurs légères et l'attrait particulier pour ses pratiques ont à la fois fait naître une véritable industrie du sex et en sont issus. C'est un cercle vicieux qui ne cessera jamais d'exister et qui pervertira toujours un peu plus les esprits en faisant croire que tout cela est normal, que cela est excitant donc forcément bon: c'est ainsi que naît la pratique pornographique.

Danger: psychologie et sex

crane.jpgLe danger de ces pratiques n'est pas immédiat. Il est évident que l'on ne meurt pas de ces dernières (excluons les réelles débauches, violentes et inhumaines, sado-masochistes, scatophiles, zoophiles et nécrophiles dont nous ne parlerons pas ici, de même que les dangers des maladies sexuelles facilement transmissibles lorsque l'on ne se protège pas et qu'il ne faut jamais oublier). Ainsi, l'on pourrait croire que tant que l'acte est à deux, accordé, il est normal, sain et juste plaisant, mais n'oublions jamais qu'avec du recul les esprits restent marqués de certaines choses. De plus, le second danger après la psychologie humaine est que l'assouvissement trop régulier des plaisirs, en solitaire, en couple, mais surtout en dehors des principes de l'Amour, conduit inévitablement à la perte de ces mêmes plaisirs. Tout devient normal, blasant, facile, répétitif. Si l'on se lance dans la recherche de nouvelles pratiques et que l'on dépasse la sensualité pour accéder à la brutalité et d'écœurants rites, c'est que l'on a déjà dépassé le stade d'Amour. Aussi n'est-il pas exagéré de penser que l'on en arrive à de pareils troubles qu'à partir du moment où faire l'amour n'est plus Amour mais Sex.

Abus: l'ennui

L'innovation est importante pour éviter cet état de blasement, bien entendu l'exclure totalement serait idiot, mais il ne faut pas oublier que cet état (si l'on parle d'innovations extrêmes et non d'érotisme) ne survient que lorsque l'Amour a quitté le corps de l'un ou l'autre des amants (voire des deux) et qu'à ce moment-là ce n'est alors que du sex, ou bien c'est que les deux amants ce sont oubliés dans leurs plaisirs et qu'ils ont ainsi trop demandé par concupiscence: la mesure est la clé de l'Amour, il faut savoir calmer ses désirs et ne pas faire de cet acte magnifique un quotidien obligatoire ou la menace, d'abord de l'ennui puis celle de la débauche, vient peser sur le couple et le réduit à néant ou le conduit sur le chemin de l'acte sans sentiment. Ne dit-on pas d'un vin que l'on n'en reconnaît plus le goût lorsque l'on est ivre? Ne nous dégoûtons-nous pas du plus subtil de tous les mets à force d'en abuser? Ne dédaignons-nous pas tous les objets que l'on accumule sur nos étagères à force de l'avoir trop vite remplie par de fiévreux achats? L'Amour est comme toutes les choses: à force d'en demander, d'en acheter et d'en jouir, il perd de son attrait, de sa valeur et de son goût. Ne vaut-il mieux pas s'adonner aux plaisirs de manière réfléchie et mesurée afin de jouir pleinement de la magnificence de ce que l'on recherche plutôt que de se hâter à obtenir ce que l'on cherche en bâclant les beautés affin d'accéder plus vite à l'assouvissement du désir, bref et rapidement oublié?

A vous d'éviter les Dangereuses dérives et d'aimer...

Le domaine médical

Aiguille de fer, aiguille de verre Plante donc ma chair Je t'abomine Tu m'examines Je voudrais être sous terre


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Le domaine médical

Du simple Paracétamol pour le mal de tête à la vaccination en passant par la pilule et les opérations, sans compter le dentiste avec son simple détartrage ou encore le médecin pour une petite visite médicale afin d'obtenir un certificat pour pouvoir faire du sport: TOUT M'HORRIPILE dans ce domaine! Sans_titre_2.bmp Sur le moment, je préfèrerais limite crever de mon mal de tête plutôt que de prendre un comprimé effervescent ou non, en poudre ou non! Je préfèrerais dormir lorsque l'on me vaccine ou que l'on me fait une prise de sang! Je préfèrerais ne jamais voir, ni sentir d'hôpital, ni de clinique, ni de cabinet de dentiste, pharmacien et autres...TOUT me révulse et me rend malade: les évanouissement sont ultra courants chez moi, et oui je suis une petite nature.

Mais la question qui se pose c'est: pourquoi suis-je gênée par le domaine médical? C'est sûr que ce n'est pas plaisant mais pourquoi est-ce à ce point-là chez moi? Après m'être observée moi-même pendant longtemps, je pense avoir trouvé les sources de tout cela...

Opération

Si j'ai cette peur du domaine médical, je pense que c'est dû à une opération que j'ai subit vers mes 2ans. Je me suis en effet fait opérer au niveau de la gorge pour un kyste et je me souviens du moment où l'on m'a emmenée dans la salle pour me mettre un masque afin de m'endormir. A deux ans, il faut le reconnaître, c'est fort d'en avoir des souvenirs. C'est que cela m'a marquée l'esprit d'être soudainement embarquée sur un lit, arrachée aux bras de mon père pour ensuite être étouffée sans raison en étant plongée dans le noir (c'est ainsi que je l'ai vécu de mon point de vue de petite môme)...et ça m'a aussi marqué la peau me direz-vous en voyant ma cicatrice (ouai une vraie warrior! -_-)

Ainsi je pense que cette opération est à l'origine de ma peur médicale mais pas seulement: je pense aussi que c'est ce qui a fait que j'ai peur des endroits clos (claustrophobie).

Résultat: des réactions psychosomatiques

Castle_Fence_by_Daegwath.jpgQu'est-ce qu'une maladie psychosomatique? Que signifie psychosomatique?

C'est une réaction du corps face à un problème d'ordre psychique. Par exemple sous le coup d'un grand stress, d'une panique, d'un état de nervosité...etc. la peau attrape des boutons ou devient grasse, le ventre gonfle, le dos fait mal...En fait c'est un problème de l'esprit qui agit sur le corps.

Je vous évoque cela car je suis quelqu'un qui réagit très vite de cette manière. Le stress et la déprime me font souvent avoir de drôles de réactions. Par exemple, par deux fois j'étais persuadée d'avoir pris des risques avec mon compagnon. Résultat: je me suis crue enceinte et mon ventre a gonflé pendant une semaine.... Persuadée d'être enceinte! Et voilà comment mon corps a réagit à cette peur. (C'est sûr que ça rassure en plus d'avoir le ventre qui devient rond comme un ballon!) Ou encore, il suffit de me changer ma boîte de pilule pour être persuadée que cela changera tout! L'emballage, rien que ça, me fait paniquer et avoir des réactions corporelles étranges!

Petite nature, oui. Hé bien voilà pourquoi je tombe facilement dans les vapes, voilà pourquoi je panique pour les choses médicales (jusqu'au papier, l'ordonnance, le rdv chez le médecin, je n'ai même pas besoin de voir la chose pour en être malade...), voilà pourquoi je suis claustrophobe et peut être aussi pourquoi je n'ai confiance en personne...

Finalement J'ai beau chercher à être plus forte, décidément je refuse le monde médical. Prendre un Dolipranne, une Aspirine de temps en temps si je souffre: oui. Un vaccin, une prise de sang: c'est obligatoire parfois même si je tombe systématiquement dans les pommes. Après...une opération, montrer mon corps à un médecin pour quoique ce soit: là non. La peur et la pudeur m'en empêchent. Mais évidemment si je doit me faire opérer à tout prix pour quelque chose, s'il n'y a pas d'autre solution, je me laisserais faire! Il ne faut pas exagérer non plus...

Mais en tous cas, l'être humain est loin d'être prêt à avoir ma confiance, même les médecins, chirurgiens et autres spécialistes... Revoyez votre Histoire...et méditez sur leur cas aussi bien que sur n'importe quel autre être humain et vous verrez que cela fait peur.
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ori_by_d4doggy.jpgSi vous aussi vous avez cette peur du domaine médical, tentez de la surpasser afin de prendre soin de vous. Mais faites tout de même toujours attention. Même les médecins et les chirurgiens font des erreurs. Prescriptions sur-dosées, inutiles ou trop chères, oublis, faux gestes...N'oubliez jamais qu'ils sont humains avant-tout. C'est bien joli d'en faire des gens surdoués, sur-intelligents et sauveurs de l'humanité, mais certains sont inconscients, pervers et cupides. Certains ne nous prennent pas comme de simples "corps" du point de vue médical, certains n'ont pas leur métier dans l'âme, ils n'en on que le titre.

Ce domaine recèle comme tout autre ses déviances et ses vices. Il ne faut pas le diaboliser mais s'en méfier malgré tout.

Le corps et l'esprit

Le corps et l'esprit ne sont pas un seul mais ils sont liés.

N'êtes-vous pas d'accord sur l'idée que notre corps ne soit pour nous qu'un objet que nous dirigeons grâce à notre esprit ? Notre conscience et nos pensées ne sont pas notre corps mais ils sont reliés à des endroits stratégiques qui leur permettent de lui donner des ordres.

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Parfois, le corps échappe à notre esprit et nous en perdons le contrôle.

Cela est perturbant et même affolant car nous ne pouvons plus faire ce que nous voulons. C'est le cas lors des évanouissements, (et oui c'est là que je voulais en venir): nous avons une absence due à un choc ou une idée qui nous insupporte et lorsque notre conscience revient, nous ne pouvons pas reprendre le contrôle de notre corps aussitôt.

On peut être barbare dans sa tête et tomber dans les pommes pour un oursin planté dans la main, une piqûre ou une allusion aux opérations... Cela est assez frustrant et l'on se rend compte que l'Homme est une créature bien fragile.

Personnellement, je me suis évanouie 4 fois dans ma vie, pour l'instant...Et je peux vous dire que c'est fort étrange... La dernière fois que je me suis évanouie, j'ai repris conscience en cinq secondes mais je n'avais plus du tout le contrôle de mon corps. Je comprenais tout autour de moi, je savais ce qu'il se passait, je savais pourquoi j'étais tombée mais, même allongée, il m'a fallu près d'une minute pour que je puisse bouger un doigt !

J'ai alors eu une réaction bizarre, encore indépendante de ma volonté: j'ai pleuré: j'ai pleuré en riant en même temps et j'ai dis à ma mère qui était là: "la honte, la honte..." Je sais que j'ai rit parce que je me suis mise à la place d'un témoin qui aurait vu la scène et parce que je savais que la cause de ma perte de conscience n'était due qu'à un vaccin: ceci était bien risible n'est-ce pas ? Je sais donc pourquoi j'ai rit mais je ne saurais expliquer pourquoi je me suis mise à sangloter en même temps... Une chose est certaine, je n'ai pas pleuré parce que j'étais traumatisée mais bien parce que mon corps n'était plus en ma possession!

Le psychosomatique

L'évanouissement dans ce cas là est en réalité une réaction psychosomatique: c'est à dire que mon esprit, perturbé par ce qui allait m'arriver, à agit sur le corps en le mettant hors-tension, si l'on peut dire. Les pleurs sont eux-aussi une réaction psychosomatique: réalisant que je n'avais plus le contrôle sur mon corps, mon esprit a eu peur.

(30 septembre 2007)